Quand Monsieur Kirili se trompe de combat

publié le 07/02/2000

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texte publié dans Le Monde le 24/10/1996 en réponse à un texte d’Alain Kirili à propos du documentaire de Jean-Luc Léon, "Le Marchand, l’artiste et le collectionneur", diffusé par Arte le 4 octobre 1996.

LE plaidoyer pro domo du sculpteur Alain Kirili (Le Monde du 10 octobre) est d’une candeur admirable, ou d’une désinvolture qui tente de jeter un voile sur les questions que suggère le documentaire de Jean-Luc Léon, "Le Marchand, l’artiste et le collectionneur", diffusé par Arte le 4 octobre. Les artistes pas plus que les Nahon, dont il ne prend d’ailleurs pas la défense, ne sont piégés par ce film. Ils sont simplement renvoyés à l’image de cette double ambition, qu’ils prennent pour modèle, d’être créateurs et d’assumer, comme le dit joliment Kirili, « les responsabilités sociales et économiques que [leur] œuvre exige ».

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